Apr�s l'appel lanc� dimanche par Corsica Nazione et Indipendenza, le PNC a annonc� hier qu'il acceptait ce "d�bat sur l'union et la clandestinit�", en demandant qu'il soit "sinc�re" et "sans arri�re-pens�e h�g�monique".
Au contraire d'Indipendenza et de Corsica Nazione, le PNC estime que "le combat des clandestins n'est plus adapt�" et appelle � "prendre le pouvoir" � l'assembl�e de Corse".
"Soit la lutte clandestine se poursuit, et on reste dans l'opposition, soit on passe un compromis historique entre nationalistes et forces du progr�s (les corsistes et une partie de la gauche) pour partager le pouvoir et mieux peser sur Paris", a d�clar� hier Xavier Luciani du PNC poursuivant :
"Lorsque deux mouvements clandestins se disputent la paternit� d'un attentat irresponsable, en plein jour, contre un bureau de poste, on nourrit quelque inqui�tude". "Si la gamine qui allait poster une lettre � Folelli avait �t� gri�vement bless�e, quel type de d�bat nous aurions eu �.
On s�interroge sur le d�bat qui pourra s�ouvrir entre une organisation qui rejette la violence et une autre qui la revendique.
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