Lors des entretiens t�l�phoniques de dimanche et lundi qui ont eu lieu sur initiative d�Ariane Chemin, journaliste sp�cialis�e dans les affaires corses au � Monde � entre cette derni�re et moi m�me, la journaliste a d�menti avoir plagi�, un mois apr�s la sortie des informations de � L�investigateur � en septembre 2002 sur les dessous de l�assassinat de Fran�ois Santoni, notre hebdo et son site. � Je n�ai jamais visit� votre site internet � ce jour �, me d�clara-t-elle tout en pr�cisant cinq minutes plus tard qu�elle avait constat� l�absence d� �ours � sur ce site. Un lapsus significatif, car lors du plagiat du � Monde �, notre ancien site ne disposait effectivement pas d�un � ours � comme on peut le trouver aujourd�hui sous le lien � qui sommes nous �. Par ailleurs, Madame Chemin �tait parfaitement au courant des articles la concernant sur notre site, sans les avoir lus, bien s�r ! Ariane Chemin s�est par ailleurs montr�e tr�s �mue sur les critiques qu�elle dut essuyer � l��poque de grand nombre de confr�res fran�ais.
Mme Chemin �tait �galement tr�s surprise que d�apprendre que � L�investigateur � est un hebdomadaire vendu en kiosque au Luxembourg et par abonnement en France avant d��tre un site web. Ce qui l�a fait titrer : � L�investigateur, un site internet �. Elle m�interrogea �galement sur les journalistes collaborant � notre hebdomadaire. Mes r�ponses ne sont pas reproduites dans l�article, parce qu�elles n�arrangeaient pas les th�ses de Mme Chemin qui, malhonn�tement, fait sous-entendre exactement le contraire de ce que je lui avais dit.
Ariane Chemin m�a expliqu� pendant de longues minutes sa d�ontologie et sa fa�on honn�te et impartiale de concevoir le journalisme. Je n�ai retrouv� aucun de ses arguments dans l�article du � Monde � d�aujourd�hui. jn
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