"L'hospitalit� est en Corse quelque chose d'assez sacr� (...) mais en m�me temps nous vivons dans une situation de violence, et on ne peut pas cautionner ni de loin ni de pr�s la violence", a d�clar� M. Rossi � qui il �tait demand� de r�agir � la phrase prononc�e par le p�re de Marc, le nationaliste Edmond Simeoni, pour d�fendre son fils: "L'hospitalit� dans la culture corse est le plus sacr� des devoirs. Aider Yvan Colonna � �chapper � la justice, c'�tait le plus sacr� des devoirs".
Cependant, Jos� Rossi a aussit�t bott� en touche, estimant que la priorit� pour les autorit�s ne doit pas �tre de rechercher ceux qui ont aid� tel ou tel � prendre la fuite.
"Il y a aujourd'hui, au-del� de cette hospitalit� tr�s particuli�re, des choses beaucoup plus graves qui se sont pass�es, et en terme de r�sultat et d'enqu�te c'est sur ces drames, ces assassinats, sur ces violences extr�mes qu'aujourd'hui il faut avancer car la Corse ne peut plus vivre dans cette situation tr�s longtemps".
Sujet de l��preuve : r�sumez en quelques mots ce qu�a voulu dire tr�s pr�cis�ment Jos� Rossi. Le pr�sident de l�assembl�e a n�anmoins �t� plus clair en faisant savoir qu�� l'occasion de sa rentr�e lundi, l'assembl�e de Corse devrait "adopter une position tr�s ferme sur la question de la violence", selon M. Rossi. Les huit �lus nationalistes de Corsica Nazione d�cideront alors dans les prochains jours s'ils continuent � pratiquer la politique de la chaise vide dans l'h�micycle insulaire, a d�clar� Jean-Guy Talamoni.
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