Le samedi 26 avril 2003, le Front national �crivait cet article qui laisse perplexe quant aux responsabilit�s des actes racistes en Corse
En Corse� L�incapacit� de nos dirigeants, de gauche comme de � droite �, � assurer la d�fense de l�identit� fran�aise, peut entra�ner des r�actions d�sesp�r�es de nos compatriotes. Mais il appartient au Front National, respectueux de l�ordre r�publicain et des r�gles du jeu d�mocratique, d�incarner dans un cadre l�gal l�alternative � un syst�me politique qui appara�t chaque jour un peu plus comme une des courroies de transmission de la machine mondialiste � broyer les peuples. Le cas de la Corse est � cet �gard embl�matique puisque l��le de beaut� subit de plein fouet les carences et les d�missions de l��tat de droit, comme l�illustrent le terrorisme, la violence mafieuse et l�immigration de peuplement qui ne cessent de se d�velopper dans ces deux d�partements. Depuis quelque temps, des actions violentes ont �t� perp�tr�es par un groupe corse clandestin baptis� �Resistenza Corsa �, lequel entend lutter � contre la drogue, la d�linquance et la pr�sence de communaut�s �trang�res � ; une association d�extr�me gauche avait �galement �t� vis�e par un attentat � Bastia, action revendiqu�e par ce m�me groupe (FDA Quotidien du 22/01/2003). Dans la nuit de mercredi � jeudi, � Baleone, au sud d�Ajaccio, un nouvel attentat a �t� commis au local de l�Association des Marocains de Corse, occasionnant des d�g�ts importants. Si ce plasticage n�a fait l�objet d�aucune revendication, il intervient apr�s les d�clarations des deux pr�fets de Corse qui ont manifest� leurs � pr�occupations � devant la distribution dans plusieurs villes de l��le d�un tract fustigeant � la pression de l�invasion arabo-musulmane �, sign� par un groupe jusqu�alors inconnu, � l� � Organisation secr�te corse �.
De l� � penser que beaucoup de ces attentats ont des connotations d�extr�me-droite
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