AIMER, BOIRE ET� EN VIVRE
" Quand je croise l'un de mes amis de la nuit, la journ�e, dans la rue, il ne me conna�t pas et rares sont ceux qui me saluent. Pourtant, la nuit, au cabaret, ils me tapent sur l'�paule et rivalisent d'ing�niosit� pour attirer mon attention ". Le vieux lion de la vie nocturne luxembourgeoise, probablement rajeuni par l'un ou l'autre lifting, toujours tir� � quatre �pingles, soign� et pas du tout fatigu� en apparence de milliers de nuits blanches, ne se sera jamais d�barrass� de ce complexe propre � sa profession : �tre un mort vivant le jour et une lumi�re qui attire les notables et les personnalit�s la nuit, au point que parfois, les clients s'y br�lent !
L'homme a cependant diverses facettes. Il ne pourra nier qu'il a v�cu de et par le charme des femmes... N'emp�che que sa remarque introductive est r�elle et cruelle et prouve que ceux qui s'amusent la nuit et mettent leur plaisir entre les mains de l'organisateur des nuits chaudes luxembourgeoises, pr�f�rent l'ignorer, ne pas le conna�tre quand il fait clair et que le fard, les n�ons et le c�t� � cent pour cents artificiel de la nuit, ont disparu.
LA SUITE DANS "L'INVESTIGATEUR" 168 sur 7 pages sp�ciales
- Bonnes relations avec la police et dans la discr�tion
- Un r�le unique dans le "milieu"
- Un "empire" de multiples cabarets et bars
- Des gains nets de plus de 25 000 euros par jour
- Une d�put�e d�nonce...
- une autre attaque!
- La Cour du Roi
- Les flics tirent un coup au stand de tir
- La triste r�alit� des bars
ainsi que
- Un trou dans la piscine
- Mesrine chez Hoffmann
et encore
Les m�moires de Jos Hoffmann : de la mine sid�rurgique au luxe du Roi de la Nuit
Dans un manuscrit r�dig� entre octobre 1984 et janvier 1985, Jos. Hoffmann raconte comment il est arriv� de l'aci�rie qui le destinait � une vie banale d'ouvrier aux premiers pas effectu�s dans le milieu des lumi�res rouges et tamis�es�
|
|