LA NOUVELLE FILIERE DES DIAMANTS QUI FOURNIT AL QUAIDA ET LE TERRORISME EN ARMES
Nous avons p�n�tr�, suite � une enqu�te qui a dur� plus d'un an, l'un des syst�mes de financement des armes du terrorisme et notamment d'Al Quaida via ce qu'on appelait encore r�cemment les talibans. Une enqu�te dangereuse, effectu�e partiellement en collaboration avec des services de police et des services de renseignement �trangers. Une enqu�te, dans laquelle notre correspondant � Bruxelles a pris des risques physiques et dont l'�volution et les r�sultats ont int�ress� et int�resseront encore les services divers sp�cialis�s ou occup�s en mati�re de terrorisme. Une enqu�te qui prouve que les chemins du financement de l'armement des groupes de terroristes, d'Al Quaida au Hesbollah en passant par les Talibans et tous les groupes ou groupuscules int�ress�s, sont aussi vari�s qu'impossibles � endiguer. Et que l'�nergie criminelle de ceux qui sont charg�s de se procurer les moyens financiers pour acheter ces armes, est tout aussi grande et intelligente que celle de ceux qui ex�cutent ensuite les attentats et autres actes de terrorisme.
Une enqu�te de Jean Nicolas, avec la collaboration de notre correspondant � Bruxelles et de notre correspondant en Afrique, qui tous deux, resteront anonymes pour des raisons �videntes.
Nous sommes en pr�sence d'un volet du syst�me assez m�connu, mais qui se d�couvre aujourd'hui et qui consiste dans le payement du trafic d'armes ill�gales � travers le monde, notamment le financement d'armes semi-lourdes et l�g�res au b�n�fice d'Al Quaida, par des diamants blanchis. Il y a quelques mois, le quotidien parisien " Le Monde " et quelques autres grands m�dias �trangers, ont pour la premi�re fois �voqu� ce " march� ", sans cependant en conna�tre les coulisses. Nous avons remont� en exclusivit� une telle fili�re. C'est la premi�re fois qu'une telle histoire est publi�e.
Le syst�me fonctionne parfaitement et est simple, compos� qu'il est de trois �tapes distinctes : d'une part, le d�part ill�gal du moyen de payement depuis l'Afrique noire, d'autre part, l'arriv�e du mat�riel entre les mains des combattants d'Al Quaida, via les talibans, en Afghanistan, en ce qui concerne notre enqu�te ponctuelle et troisi�mement, pi�ce centrale du syst�me, le fait que les deux pistes se rejoignent � Anvers, en Belgique, dans le centre des diamantaires, le centre de l'enqu�te. Avec un accessit int�ressant : le transfert des fonds illicitement acquis par ce syst�me, dans des banques luxembourgeoises.
LA SUITE DE NOTRE ENQUETE EXCLUSIVE SUR 6 PAGES SPECIALES DANS "L'INVESTIGATEUR" 165
- Diamants au noir - L'investigateur a identifi� les membres d'un r�seau complet - la piste des diamantaires- un �trange associ� - diamants de sang - le client s'appelle Al QUaida - informateurs sur le r�seau Al Quaida - Documents -
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