A LA UNE
SARKOZY, LE FILS SPIRITUEL DE MITTERRAND
Nicolas Sarkozy, Fran�ois Mitterrand. Deux g�n�rations et pourtant le m�me go�t et le m�me talent pour l�intrigue au service d�un destin que l�on affirme national. Le pr�sident socialiste disait de Sarkozy : � Il a du talent pour mordre et pour trahir. Pas des qualit�s suffisantes pour aspirer au premier rang. Mais c�est un gar�on dou�, rien � voir avec les Debr� �. C�est ce que bien des hommes politiques ont pens� de Mitterrand, cet arriviste du pays de Saintonge, pr�t � tout pour arriver. C��tait donc l�hommage du vice qu�il rendait � son cadet. Et quoi qu�en ait pens� Fran�ois Mitterrand, par ailleurs pi�tre juge de ses fr�res humains, le ministre de l�Int�rieur appara�t aujourd�hui comme l�un des rares hommes politiques de sa g�n�ration � poss�der une stature nationale.
ENQUETE sur 5 pages
MEURTRE POUR RAISON BANCAIRE EN CORSE
G�rard Soisson en savait trop sur le fonctionnement de l�institut de compensation luxembourgeois qui d�fraye depuis 2001 la chronique.
ENQU�TE !
Carg�se, station baln�aire de la Corse, juillet 1983 : un homme sportif et entra�n�, au corps d�athl�te, 48 ans, fait comme � son habitude son jogging matinal, entour� de deux de ses enfants. L�homme est habitu� � l�effort physique et c�est donc d�autant plus surprenant que subitement, alors que l�effort n�est pas soutenu, G�rard Soisson, citoyen luxembourgeois et num�ro 2 � l��poque de la soci�t� de clearing bancaire Clearstream, s�effondre, mort sur le coup. Crise cardiaque, conclura le m�decin venu tr�s rapidement sur place. Il n�y aura pas d�autopsie, pas d�enqu�te, mais le corps subira cependant des interventions on ne peut plus intrigantes.
NEWS
La presse fran�aise en d�confiture
Angolagate : les comptes en banque et les personnes impliqu�es
Les Canadiens vont payer les vacances de Chirac
R�v�lations : Serge Dassault et les barbouzes � une r�union ultra-secr�te chez Nadhmi Auchi
Les conneries de Dieudonn�
�Le Monde � tombe de plus en plus bas
La traque du Papy : la chasse � Sirven racont�e par le chef des policiers qui ont captur� Alfred (II�me partie)
Hors S�rie
etc
OPINON
L��dito : cette distribution qui met en danger la libert� de la presse
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