Le 22 novembre, le PNC d�clarait � appris avec stupeur � la condamnation de Jean-Nicolas Antoniotti pour r�bellion et d�non�ait cette r�pression dans un discours attendu. Aujourd'hui son co-accus� St�phane Accorsi explique qu'il se � d�solidarise du PNC et refuse son soutien �
� J'apprends par le Corse-Matin du 22 novembre 2003 le soutien qu'apporte le PNC apr�s la condamnation pour � r�bellion � de Jean-Nicolas Antoniotti et de moi-m�me. Durant le proc�s du 18 novembre j'ai compl�tement assum� ma pr�sence et la � r�bellion � aux c�t�s de Jean-Nicolas Antoniotti pour d�noncer la passivit� des services de l'�tat lors de la s�rie d'attentats qui a touch� l'H�tel Ibis, revendiqu�s par le FLNC.
S'il est vrai que le PNC a d�s le d�but d�nonc� ces actions et soutenu Jean-Nicolas Antoniotti et moi-m�me, il a accept� le principe d'une alliance avec les mouvements nationalistes n'ayant jamais d�nonc� ces attentats, quand ils ne les ont pas excus�s.
De plus le PNC a soutenu par la pr�sence de son porte-parole des militants nationalistes qui ont effectu� et assum� des attentats racistes. Ne voulant pas �tre rapproch�, malgr� moi, � cette tendance du mouvement nationaliste qui � d�stabilise � notre pays au moins autant que l'�tat et ne voulant pas �tre mis dans le m�me panier que des miliciens corses racistes, je me d�solidarise du PNC et refuse son soutien.
Commentaire : on ne peut que saluer la coh�rence de St�phane Bonnacorsi qui refuse d�embrasser la main qui l�a frapp�. Le FLNC UC des Combattants a revendiqu� les attentats qui ont frapp� l�h�tel Ibis.
Le PNC avec une hypocrisie totale feint de croire que le scandale est la condamnation d�Antoniotti alors que le v�ritable scandale que d�ailleurs le PNC avait d�nonc� � mi-mot est le racket et le plasticage. Quant � Jean-Nicolas Antoniotti, militant du PNC, on se demande bien ce qu�il pense quand il voit son parti s�unir � ceux qui l�ont plastiqu�.
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