Voici le r�cit des recherches d'un ancien expert alg�rien qui a exerc� pendant plusieurs ann�es � la cellule antiterrorisme de la gendarmerie et aupr�s de la P.J(Brigade Nationale) et � diff�rents niveaux de l'appareil judiciaire en Belgique. Mohamed ZAIOUR �tait notamment charg� d'examiner certains dossiers relatifs au terrorisme international.
Mohamed ZAIOUR a commenc� � avoir de s�rieux ennuis avec certains hauts fonctionnaires de l'appareil judiciaire et des services secrets belges lorsqu'il a mis au jour les �tranges pratiques de certaines brigades, de certains cadres de l'appareil policier et de certains magistrats dans la conduite des enqu�tes sur la criminalit� violente, notamment en mati�re de braquages de fourgons.
Le jour de l'exfiltration vers la Suisse par les Services Secrets Belges de Bart VAN LIJSBETH de la t�te de pont du G.I.A. : Ahmed Zaoui, Mohamed ZAIOUR sera victime d'un attentat dont il r�chappe miraculeusement. Si l'on a pu croire, sur le moment, � un accident fortuit, la suite des �v�nements, les recoupements et les recherches permettent, aujourd'hui, d'affirmer avec certitude qu'il s'agissait bien d'une tentative d'assassinat camoufl�e en accident de voiture.
Entre-autre, l'ultimatum adress� par le G.I.A. en mois de juin 1999 faisait �tat de l'existence d'un "pacte secret" entre l'entreprise terroriste et les services secrets de Bart Van Lijsbeth. Celui ci porterait sur le d�part de Zaoui accompagn� d'un gel de l'activit� des services alg�riens sur le sol Belge. L'an dernier "L'investigateur' a consacr� plusieurs articles � ces "dysfonctionnements" dignes de l'op�ration "Othello". Par une curieuse coincidence, imm�diatement apr�s la publication de ces informations, d'une part un certain ballet diplomatique s'est engag� de Bruxelles vers Alger, d'autre part une s�rie de perquisitions sans mandats a eu lieu au domicile de proches de Mohamed ZAIOUR....
Aujourd'hui, Mohamed ZAIOUR r�agit � la publication d'un livre sur l'Alg�rie des g�n�raux publi� aux �ditions "La d�couverte", sous le titre "SALE GUERRE" �crit par Habib SOUAIDIA, un ancien para des forces sp�ciales des forces sp�ciales de l'arm�e alg�rienne, par la publication prochaine d'un livre explosif qu'il a remis � plusieurs reprises et dont nous publions en exclusivit� les bonnes feuilles.
Dans son ouvrage, Habib Souaidia affirme: "Hormis quelques intellectuels, responsables d'organisations non gouvernementales et autres journalistes, la communaut� internationale est rest�e bien silencieuse" devant les horreurs commises par l'arm�e, la police, la gendarmerie et les milices du pouvoir. "J'ai vu des coll�gues br�ler vif un enfant de quinze ans, j'ai vu des militaires massacrer des civils et faire passer ces crimes pour ceux des terroristes...". "Je ne veux en aucune mani�re me sentir complice d'un crime contre l'humanit�."
" J'ai vu trop de choses horribles, je ne peux me taire "
Je m'appelle Mohamed Za�our. Je suis un ancien auxiliaire de la justice Belge. J'ai trente quatre ans. Je suis n� en 1967 au centre de la wilaya (d�partement) d'Alger, � quelques pas de l� o� est tomb� " Ali la Pointe ". Un grand h�ros de la guerre d'Alg�rie. Engag� volontaire, en 1993, dans les rangs de la justice Belge, et exer�ant dans certains cercles de l'appareil judiciaire, aux cot�s de certains services de police et de s�curit�, j'�tais loin de penser que j'allais �tre, de ce balcon, un t�moin tr�s direct des dessous de la trag�die qui frappe mon pays : l'Alg�rie.
Beaucoup parmi ceux qui pr�tendent, dans certains milieux occidentaux, se pr�occuper de la situation alg�rienne savent, m�me s'ils ne l'avouent jamais, qu'au del� de l'ampleur des abominations commises contre le peuple par les terroristes � l'int�rieur de l'Alg�rie, il y a les machinations de ceux qui aiguisent leurs machettes � l'ext�rieur.
Si les crimes des uns ont �t� largement m�diatis�s, et - pr�tendument - unanimement condamn�s, ceux de ceux qui aiguisent les machettes des tueurs (agents de p�n�tration, agents d'infiltration, espions de tous bords�) n'ont jamais �t� �voqu�s.
Hormis quelques intellectuels sinc�res, quelques journalistes honn�tes, les chasseurs de scalps, drap�s de dignit� de th��tre, op�rant sous de multiples couvertures, se nourrissent, eux, du sang des enfants d'Alg�rie.
J'ai vu de hauts cadres de l'appareil judiciaire et policier, dont le magistrat national, lui m�me, marginaliser des magistrats instructeurs, scinder leurs dossiers, les emp�chant, par l�, d'aboutir � la v�rit� judiciaire.
Un cas de figure: Deux braquages. La m�me bande. Deux juges. Deux services d'enqu�te diff�rents.
L'�uvre r�pugnante du magistrat national Andr� Vandoren. Un personnage sinistre, hideux, qui, au lieu de s'inspirer de la lettre et de l'esprit de la loi, appliquait, en concertation avec ses comparses, des strat�gies bien particuli�res. J'y reviendrais plus loin d'une mani�re plus �tay�e.
Les gens �loign�s de la r�alit� op�rationnelle n'y comprenaient rien. Pr�sent dans le secteur depuis quelques ann�es, j'ai eu l'occasion de m'impr�gner du mode de fonctionnement de la hi�rarchie du minist�re public � l'�chelle du magistrat national pr�cis�ment. J'avais le privil�ge de disposer d'une vision plus large des ph�nom�nes criminog�nes trait�s au niveau de ce haut magistrat.
J'ai vu des actes de proc�dure criminelle dans les poubelles et les responsables se plaindre du " manque de moyens " pour, soit disant, traiter le crime organis� et le terrorisme international. Ils n'osent pas dire ouvertement " le g�rer " pour pouvoir, pour le compte du " R�seau ", l'utiliser, notamment, pour d�stabiliser l'Alg�rie�
Invraisemblable! Vous me direz. J'y reviendrai et je le prouverai plus loin quand je traiterai de ceux qui, � l'image des phalangistes de " Sabra et ch�tila ", ne laissent derri�re eux, en souvenir de leur macabre passage, que des corps sans vie et des ruines.
J'ai v�cu une manipulation, de sang froid, de proc�dures criminelles par des magistrats du Minist�re public encourag�s par leurs chefs, et assist�, aux premi�res loges, � " l'assassinat " d'un suspect, sur recommandation. En fait, de " suspect ", il n'avait que sa nationalit� Alg�rienne et avait d�couvert l'ind�couvrable.
J'ai vu trop de choses. Je ne veux pas me taire. Ce sont l� des raisons suffisantes pour briser le mur du silence
Alors, pourquoi avoir attendu jusqu'� aujourd'hui pour t�moigner ? Parce que j'avais besoin de d�masquer l'ensemble des composantes du " r�seau " et de localiser le noyau central et moteur de l'entreprise. D�s ma d�couverte, il y a de cela quelques ann�es, de ses premi�res ramifications, je me suis dit qu'il fallait que je parle, un jour, des coulisses de " la sale guerre d'Alg�rie ". Je venais de r�aliser que celle ci n'�tait pas un simple conflit entre " les m�chants terroristes " venus violer les femmes et �gorger les enfants et les " gentils " alg�riens, civils ou militaires, venus les prot�ger. Si tel avait �t� le cas, l'Alg�rie aurait d�j� vaincu.
Aujourd'hui, je veux r�pondre � ces voix qui continuent de s'�lever, en Alg�rie et ailleurs, et plus ailleurs qu'en Alg�rie, � dessein de ternir l'image de ce pays en frappant ce qui reste d'int�grit� aux femmes viol�es et aux orphelins. Cet ouvrage est �galement une r�action � de v�ritables " ballets d'espions " qui font de la d�stabilisation de l'Alg�rie une op�ration d'envergure, multipliant les concertations, les moyens, les m�thodes, puisant dans la souffrance des familles du terrorisme aveugle d'Alg�rie des cris pour des all�gations ult�rieures, et dans le d�sarroi des m�res de citoyens disparus des accusations dont ils se font, au gr�s d'int�r�ts, hier occultes et aujourd'hui r�v�l�s au grand public, les " Rapporteurs " devant les instances internationales et � travers les m�dias.
Si j'ai choisi de passer du stade de l'observation � celui du t�moignage, c'est surtout pour lib�rer ma conscience, car je ne veux en aucune mani�re, y compris en gardant le silence, me sentir complice de " Crimes au nom de l'humanit� ".
Il faut r�v�ler aux peuples et aux instances du monde les dessous de cette grande manipulation. Celle ci est l'�uvre de plusieurs personnalit�s mondaines aux ramifications mafieuses, organis�es en r�seaux secrets, structur�s, hi�rarchis�s, financ�s. Ces seigneurs et reines de la d�stabilisation sont flanqu�s dans leur r�pugnante besogne de tout un arsenal " d'agents de p�n�tration ".
Pour mieux cerner ce concept, je dirai qu'un agent de p�n�tration est un personnage mis en place par une " organisation " ou un service de renseignement dans une organisation adverse et au centre d'int�r�ts magistraux, afin d'y collecter des informations de l'int�rieur. Pour cela, il dispose d'une " couverture " pr�par�e de longue date, gr�ce � laquelle il se fera, plus facilement, admettre au sein de " l'organisation ".
Nous noterons, cependant, que cette derni�re peut �pouser plusieurs formes et sa qualification varie, par cons�quent, selon son objet.
Les parrains belges de la d�stabilisation r�p�tent en coulisses qu'on ne " peut mettre � genoux l'Alg�rie qu'en manipulant les droits de l'homme ".
Propos retors, certes, mais cela r�sume parfaitement l'�tat d'esprit des " aiguiseurs de machettes " � Bruxelles, et leurs comparses d'ailleurs.
Pour autant mon intention n'est absolument pas de d�douaner les terroristes islamistes de leurs crimes, et le sous lieutenant Souaidia, dans son livre " LA SALE GUERRE � " , auquel je ferai r�f�rence, confirme qu'ils existent bien, ni de diaboliser des personnes sinc�res.
Je suis bien plac� pour savoir que les terroristes arm�s ont commis des horreurs. Mais, contrairement � certains auteurs, dont la formation et l'exp�rience sur le terrain, autant que la tendance d'ailleurs, me para�t, � juste titre, extr�mement cloisonn�e, je peux, pour ma part, modestement, autant prouver la pr�sence d'abominations terroristes que l'existence d'une strat�gie de d�stabilisation de l'Alg�rie, en identifier les acteurs et en d�monter les stratag�mes.
Je d�signerais ainsi, en le " R�seau ", la caisse de r�sonance des terroristes � l'ext�rieur du territoire alg�rien.
Pour ceux qui me connaissent, je ne suis pas un grand sp�cialiste de la discipline particuli�re du " Contre Espionnage " en g�n�ral, et de " La lutte antiterroriste " en particulier, et � l'instar de gens devenus c�l�bres, je reste conscient de ce que je n'arrive certainement pas � la cheville de grands op�rateurs et acad�miciens form�s en la mati�re.
Je puis n�anmoins pr�tendre �tre un homme d'une intelligence op�rationnelle moyenne.
J'essaie d'�viter, tant que faire se peut, la r�torsion et le retournement par les " r�seaux ".
Je pense aussi que l'histoire de mon pays n'a pas besoin d'�tre, encore une fois, travestie comme beaucoup voudraient le faire. Je pense qu'il faut sans cesse dire que les malheurs actuels de l'Alg�rie trouvent, en grande partie, leurs origines dans le travestissement de la r�alit� de l'histoire par les acteurs de la strat�gie d'an�antissement.
Sale et tra�tre est la guerre men�e par les mains ext�rieures contre le peuple alg�rien.
Aujourd'hui, il faut savoir regarder la v�rit� en face. Il faut en finir avec les mensonges. Que les d�pass�s parmi les diplomates rengainent leur art , et que les dignitaires cessent de jouer du protocole.
Coup d'�tat belge en Alg�rie
Le terme tonne tr�s fort, et pourtant c'est de cela qu'il s'agit.
Ma conviction est qu'un officier de l'arm�e cens� �tre un op�rateur, un homme de terrain, et pr�sent� comme un homme exp�riment� aux techniques diverses de lutte contre la subversion, n'a pas le droit de sonner � la porte d'un r�seau d'espionnage et de d�stabilisation.
Le " R�seau " qui nous int�resse est organis�, structur�, hi�rarchis�, et a dans ses desseins l'�laboration d'un r�el coup d'Etat en Alg�rie. Il cible, en premier lieu, l'an�antissement de ses premi�res lignes de d�fense.
Je suis navr� de d�signer du doigt celui dont l'ouvrage " SALE GUERRE " fait la coqueluche des membres du " R�seau " qui, en agissant de la sorte, pour la n me fois, par interposition, d'une mani�re l�che et d�rob�e, tendent � animer leurs soir�es mondaines de r�cits de victoires macabres.
Pour l'auteur inspir�, si l'erreur de frapper les siens est, aussi lourde puisse t-elle �tre, passible de cl�mence, et le grand peuple d'Alg�rie, connu pour �tre l'un des derniers peuples guerriers, est un peuple qui pardonne, tomber dans une embuscade mont�e par un " r�seau structur� d'espionnage et de d�stabilisation " n'est pas digne d'un acad�micien dipl�m� de " kalaat el chadjaa oua el oussoud " ( la citadelle de l'h�ro�sme et des lions ), fiert� de l'Arm�e Nationale Populaire( ANP ).
C'est parce que l'erreur personnelle de l'homme est telle que je descends, moi, modestement amateur, r�cup�rer ce qui reste d'honneur � ceux qui jouent au " jeu " de ceux que j'ai choisis de surnommer les " aiguiseurs de machettes ", en d�signant du doigt, au grand public, le " R�seau ", et par l�, non seulement montrer � un jeune officier subalterne, form� certainement pour aller au combat, sur une " carte topographique ", dans quel type d'embuscade il est tomb�, mais �galement, et surtout, convier les baroudeurs de la d�stabilisation � goutter � un art qui, sous ses enfants, n'est que d'Alg�rie.
Les r�seaux ne se neutralisent pas � la " D�fense anti a�rienne ( DCA) ", ni au missile sol sol SAM ou au char T 72. D'autres disciplines, d'autres modes op�ratoires, d'autres techniques, d'autres types d'analyses, sont applicables en la mati�re.
Rien, absolument rien ne pourra justifier la mort inutile de dizaines de milliers de civils.
Rien, absolument rien ne peut justifier le recrutement d'un officier par un r�seau d'espionnage et de d�stabilisation.
Ce modeste ouvrage qui tient du t�moignage et de l'analyse est autant un message clair aux personnes qui y sont cit�s qu'� d'autres qui se reconna�tront. Elles comprendront que c'est parce que l'agression grossi�re port�e � l'encontre de l'Alg�rie, ce jour, est telle, et l'affront de leur �laboration de l'arrestation des chefs de l'Arm�e Alg�rienne, fiert� du grand peuple libre d'Alg�rie, est de taille, que j'ai d�cid� de les faire sortir d�finitivement de l'ombre.
Ce sont ceux qui ont d�clar� la guerre � l'Alg�rie, planifient, depuis quelques ann�es, pour la d�stabiliser, qui tentent, aujourd'hui, par des proc�d�s l�ches et divers, en d�tournant l'arsenal judiciaire international que certains de leurs espions ont inspir� � cette fin, de faire proc�der � l'arrestation des chefs de son arm�e. Ce sont ceux que j'ai choisi de surnommer : les Putschistes du Royaume.
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